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Départ le 22 décembre de Paddock, un des villages indiens de Saint-Laurent.

Allez! C'est parti!

Notre piroguier nous fait traverser pour nous amener de l'autre côté du fleuve Maroni...

Au départ, nous empruntons une petite crique bordée de mangroves :

Puis le fleuve...

L'avant de la pirogue...

...et l'arrière

Arrivés à Albina, la ville en face de Saint-Laurent, nous avons pris un taxi-co., une espèce de mini-bus qui fait le trajet jusqu'à Paramaribo. Au bout de 2h30 de soubresauts, nous sommes arrivés à la capitale du Surinam, par le pont ci-dessous :

Nous nous sommes arrêtés en banlieue pour trouver un hôtel.

On en a fait 3...tous pleins! Guino nous a donc proposé d'aller dormir chez sa mère (il est Surinamien) :

Voici notre chambre à tous les 4 :

Et voilà la famille : la grand-mère à gauche, la soeur, le fils de Guino (ou le frère, je n'ai pas très bien compris...) et la mère à droite

On a alors compris pourquoi Guino ne nous avait pas proposé tout de suite de venir chez lui...Comme chez toutes les familles bushis, ils étaient au moins une vingtaine à y vivre...donc pas trop de place pour nous!

On a fait un tour dans le quartier pour trouver un taxi...

On n'a pas eu trop de mal, vu que toutes les voitures font taxi dans cette ville...! En voici un par exemple :

Heureusement, car j'étais encore en béquilles à cette époque!

Bon, vous voulez voir Paramaribo? Alors on va commencer "by night":

 Ses dealers, ...

...ses casinos : il y en a 17 à Paramaribo!

Pour rentrer, les taxis se faisaient plus rares...

Du coup, pour passer le temps, David a mitraillé!

On a même fait des expériences...

Petit jeu : qui sont les deux fantômes?

Facile : David ; Plus dur : la soeur de Guino!

Enfin...on a fini par rentrer!

      Allez, au dodo!

Le 23 au matin, toute la "petite" famille, façon de parler, était levée depuis longtemps quand nous avons émergé!

Un petit coup de béquilles...

...et hop! dans le taxi!

Ils sont marrants les bus, non?

Et là, on a commencé à marcher...

Qu'est-ce que c'est grand une capitale!

Savez-vous ce que symbolise la bande rouge sur le drapeau du Surinam? Le progrès et la lutte pour une vie meilleure...

Et le coca, c'est le progrès, la vie meilleure! Non, mais, restons touristes...L'architecture de Paramaribo est le produit des colonisations successives...:

On y trouve même des synagogues!

Il y a aussi la trace de la colonisation britannique, même si elle fut courte : au Surinam, on roule à gauche!

Et bien sûr, de vieux bâtiments rappellent la présence néerlandaise...

Waterkant...Le quartier en bordure de fleuve :

Après avoir marché ou béquillé dans toute la ville, nous sommes retournés chez Guino.

Une petite visite guidée?

On commence par regarder par les fenêtres...

...d'où on peut voir le voisinage :

C'est la jungle!

Le voisinage, on le voit aussi d'en bas, derrière les cousins par exemple... :

Après...le jardin :

...la porte arrière :

...où un des cousins m'a fait une sacrée démonstration! Celui-là :

Mister élastique!

Et pour finir...Au rez-de-chaussée, la cuisine, et à l'étage, le salon :

Et...c'est qu'on commencerait à être fatiguées?

Ok, alors un petit mitraillage en noir et blanc...

 avant d'aller se coucher...

Il y en a une autre qui est fatiguée...

Le marchand de sable est passé!

Le matin du 24, David avait fait une "composition de noël"!

Superbe! Quel artiste!

Au réveil, j'ai fait semblant d'être en forme...

mais ça n'a pas fait illusion une fois dans le taxi pour le centre ville!

Ce qui ne nous a pas empêché de gambader toute la matinée, creusant notre appêtit...On mange où?

D'accord pour les bords du fleuve?

OK! Le fleuve Suriname...

En période de guerre, ce bateau a été échoué volontairement pour gêner la circulation dans le fleuve...Ca n'a pas marché!

Le pont par lequel nous sommes entrés à Paramaribo :

C'est donc là que nous avons déjeuné.

Sous les couleurs de la Par'bo, la bière que l'on trouve uniquement au Surinam.

De retour chez Guino.

Avant que nous partions, les cousins ont tous voulu être pris en photo...Par 5, par 4...

par 3...

par 2...

ou tout seul, du plus petit au plus grand!

Voilà...de retour sur le fleuve Maroni...

à l'approche, là encore, d'un bateau échoué!

On prend les mêmes et on recommence?

Ca sent la fin...!

C'est chaud, on touche le fond, la marée est basse...

Mais on arrive quand même...

                FIN